Vie Sauvage

Cette exposition est à vivre comme un parcours initiatique. La dernière pièce sonore interactive en est le point d’orgue. Nous avons voulu questionner le concept de Vie Sauvage, et l’amener à vivre dans la cuve, à travers votre propre corps.
Transformer cet espace lié à la guerre, l’industrie, et le rendre à la Nature, en l’attachant à nos racines, nos peurs originelles.

En faire la Grotte des premiers hommes,
où les animaux et les végétaux s’animaient sur les parois
à la lueur des ammes, au son des cris et des chants intérieurs.

Lauriane Tresserre
et Guillaume Batista Pina

Nous remercions pour leur soutien :
le Bel Ordinaire, espace d’art contemporain
de la Communauté d’Agglomération Pau-Pyrénées et la Maison des Éditions Pau-Pyrénées

 

Eyetunes Landscapes ( Table vidéo tactile, programmation intéractive, installation sonore) A vous de créer vos propres paysages sonores et d’animer la maison-grotte.


Nuisibles (moteurs électroniques, sacs poubelle, tapettes à souris)

Lorsque la Nature vit en dehors de l’espace que l’Homme lui attribue, elle se pare d’une aura négative qu’il faut éradiquer.

Totem à Fétiches (14 objets hétéroclites issus de la nature , disposés dans un totem lumineux)

Collection d’objets, chargés en symbolique, liés à une cosmogonie personnelle, reconnus dans l’Inconscient Collectif.

Herbes Redécouvrir sa verticalité

Souvenirs potentiels (galets)
Un lieu, un évènement, une humeur, une forme, une couleur… Si cette expérience dans la cuve vous interpelle, vous êtes invités à ramener une pierre qui incarnera ce que vous souhaitez lui transmettre.

Vache (Ossements et photograhie noir et blanc )

Habitats (collection de nids)
Habiter c’est définir en délimitant son espace de vie .Une fois cet élément connu, on peut habiter où notre corps nous mène et devenir «remarquable» dans n’importe quel paysage. Habiter , c’est remarquer son espace vital.

Berlin (vidéoprojection, morceau du mur de berlin sur socle lumineux)

Images videos d’archives personnelles ,capturées à Berlin en Octobre 1982. Un seul morceau du Mur de Berlin pour symboliser toute une enfance.